Panacéa s’équipe d’un simulateur de vieillissement !

À partir du mois de janvier 2020, les professionnels suivant certaines de nos formations en gériatrie vont avoir l’opportunité de s’immerger dans la peau d’une personne âgée grâce au simulateur de vieillissement. Un équipement devenu indispensable pour appréhender concrètement les difficultés rencontrées au quotidien par les seniors et pouvoir adapter sa prise en charge.

Appréhender le processus de vieillissement…

L’efficacité du simulateur de vieillissement n’est plus a prouver, son expérimentation permet à l’apprenant de se confronter aux conséquences physiques et psychologiques de certaines déficiences. Des mises en situation déroutantes pour les apprenants puisqu’elles impactent la perte de leur sens : altération de la vue, de la motricité et de l’audition ou tremblements.Grâce aux différents équipements proposés (combinaison, sur-chaussures, genouillère, collier cervical, lunettes, casque audio), les apprenants suivent des scénarios basés sur des temps de vie simples tels que la prise du repas, l’alitement ou lors d’une activité en étant tour-à-tour acteurs, aidants ou observateurs.

… pour faire évoluer les pratiques et les mentalités

En intégrant cette expérience de simulation du vieillissement au sein de ses formations en gériatrie, Panacéa souhaite amener les apprenants à une prise de conscience directe des limites physiques liées à l’âge et de leurs impacts psychologiques sur les patients.

Cette sensibilisation permet de mieux comprendre les attitudes et comportements des seniors (agressivité, sentiment d’insécurité, fragilité) et d’adapter sa pratique en conséquence. Proposé en complément de cours magistraux et de partages d’expériences entre apprenants et formateurs, le simulateur de vieillissement est un outil stratégique pour sensibiliser les professionnels à la bientraitance.

>> Consulter le programmé détaillé de la formation « Appréhender le vieillissement en institution avec le simulateur de vieillissement »

Sans jugement, ni préjugé, l’objectif est au contraire de faire déculpabiliser les soignants, les pousser à s’interroger sur leurs propres pratiques professionnelles et de leur donner des outils et actions concrètes à mettre en place dès la fin de la formation pour initier une démarche de bientraitance.